C’est en tout cas l’analyse du Washington post et du Wesleyan Media Project:
Et ce, ajoutent-ils, même y ajoutant les dépenses des SuperPACs, l’essor de ces derniers étant compensé par des levées de fonds moins concluantes du côté des candidats.
Comme l’explique Mother Jones:
De fait, on note du côté de Barack Obama, une levée de fonds moins enthousiaste qu’en 2008.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Elisabeth Vallet (14 mars 2012). Des primaires moins chères que prévu? À la Maison-Blanche. Consulté le 20 janvier 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/v4o3